Le monde entier est un théâtre,
et tous, hommes et femmes,
n'en sont que les acteurs.
Comme il vous plaira, Acte II, sc. 7

vendredi 14 août 2015

Problème de plan de vol, chapitre 2 - MàJ: j'avais tort!

Dans un de mes premiers articles sur les trajets d'avions fantasmagoriques dans l'hémisphère sud, je prenais l'exemple d'un vol Buenos Aires - Auckland qui passait soit par l'Europe, soit par les Etats-Unis. Le vol le plus direct que j'avais trouvé était un Santiago du Chili - Auckland. A l'époque j'écrivais: "...Probablement parce que Santiago-Auckland est la distance la plus grande qu'ils peuvent couvrir avec leurs avions actuels."

J'avais tort!

Je sous-estimais naïvement leur capacité à la fourberie, et je surestimais sottement la technologie aéronautique par la même occasion. Comme qqn d'autre l'a remarqué, pour qu'un arrêt soit qualifié d'escale, il faut que les passagers descendent et/ou changent d'avion. Si l'avion ne s'arrête que pour refaire le plein, alors le vol est indiqué sur les sites comme direct même s'il fait un stop! Et qqn a fait la remarque que le vol Santiago - Auckland s'arrête en fait...à Los Angeles! Mais ça va parce que les passagers de descendent pas alors ce n'est pas une escale.

Alors on a l'habitude depuis le temps mais voilà les cartes pour référence visuelle: