Je mets quand-même ce que j'avais écrit parce que c'est là...
Mettons que vous
soyez une éminence grise de la planète Terre, une de celles dont tout le monde ignore
l'existence mais qui tirent les ficelles en coulisse, tranquillement.
Mettons que vous
aimez bien la Terre et, idéalement, vivre éternellement, mais vous trouvez
qu'il y a trop d'indigents et de jean-foutre et que ces derniers vous coupent
l'appétit. Ils ont été utiles, bien sûr, puisqu'ils vous ont permis d'établir
votre fortune et d'acheter, littéralement, le monde, mais là ça commence à bien
faire parce que la Terre commence à être sérieusement tout pourrie partout: la
pollution des océans, des terres, la disparition des forêts, de la faune, etc.
Quoi faire,
sachant qu'aucune option n'est inenvisageable ?
Mettons que vous
soyez prêt à réduire la population, de sept milliards à, disons, 1 milliard
(les Georgia guidestones donnent 500
millions mais Noël approche, alors soyons généreux).
Comment faire
alors ?
Bien sûr, les mesures préventives sont toujours possibles : avortement (facile dans les pays développés où les partis sont à vos bottes, pour les pays en développement, moins lent à comprendre de quoi il retourne, il suffit de conditionner l’aide humanitaire à la généralisation de cette pratique), promotion de l’homosexualité, destruction de la cellule familiale, etc. Vous pouvez empoisonner l’eau et l’air (fluor, chemtrails…), les gens (vaccins), mais si le nombre de morts dépasse un nombre relativement faible, les gens vont quand-même s’en rendre compte.
Ce qui vous
aidera, c’est une crise économique majeure, avec une rupture de la chaîne
d’approvisionnement. La moitié de la population des pays développés vivant dans
des villes, nombre d’entre eux ne feront pas long feu sans accès à de la
nourriture.
Mais cela
implique moins de 50% des ‘mangeurs inutiles.’ Alors vous avez besoin d’une
guerre massive, chose relativement facile à organiser vu que les autres
éminences grises des pays étrangers sont sur la même longueur d’onde. Il suffit
de patience, de propagande, et de quelques false
flags. Mais même si le ratio des morts civils par rapport aux morts
militaires à évolué tout au long du XXème siècle en défaveur des civils, il va
falloir faire beaucoup mieux que quelques batailles. Les virus vont vous
aider – la grippe espagnole à tuer plus de gens que la 1ère guerre
mondiale – mais ils ne feront pas tout.
Une fois que vous
avez le prétexte, il vous faut des armes. Si les armes nucléaires existaient vraiment,
cela aiderait formidablement, mais comme ce n’est pas le cas il faut trouver
autre chose. [Et ce n’est pas une question de radiations : Hiroshima et
Nagasaki n’ont jamais été abandonnées, et on a des films ‘un an après’ où on
voit que la vie a continué sans pour autant que les habitants tombent comme des
mouches suite aux « radiations radioactives mortelles. »] Il y a bien
les armes chimiques (comme les ont vues van Rensburg et d’autres), mais cela
détruit en même temps l’environnement, alors il faut que leur utilisation reste
limitée.
Au final, votre
meilleure arme, ce sont les gens eux-mêmes. Il faudra les amener au point où
ils feront le boulot pour vous…en s’entre-tuant.
...
C’est pourquoi le
soi-disant agenda de contrôle des armes des USA est un leurre. Le (vrai)
pouvoir n’a aucun intérêt à ce que les gens soient désarmés, il a, en revanche,
intérêt à ce qu’ils se tirent entre eux comme des canards à la fête foraine.
Le contrôle des
armes a pu marcher dans un pays peu peuplé comme l’Australie – au prix d’une forte
augmentation de la criminalité – mais dès que la population atteint une taille
critique, cela devient ingérable. En Angleterre ils n’ont pas d’armes à feu,
mais ils ont des armes blanches, à tel point qu’ils ont dû installer des
poubelles pour recevoir ces armes (et accessoirement relever empreintes et
ADN). Mais l’Angleterre a inventé les camps de concentration (au temps de la
guerre des Boers, en Afrique du Sud), alors, comme nous l’enseigne l’histoire,
ils s’en resserviront avant longtemps. Mais aux USA ils auront besoin que les
gens soient armés pour pouvoir s’entre-tuer.
...
De même, la
« crise » des immigrés en Europe est une aubaine. Une nation
ethniquement homogène se retournera rarement sur elle-même en dehors de ces deux
situations : famine généralisée ou conflit religieux. Plus vous mélanger
la population, plus avez de chance de provoquer un troisième facteur, le
facteur ethnique.
Avec tout cela –
famine, guerre, maladies, racisme – vous aurez atteint une bonne partie de vos
objectifs en milieu urbain.
Reste la
campagne. Les pays les plus ruraux seront ceux dont les populations isolées
seront les moins affectées. Production autonome de nourriture, éloignement des
zones ‘chaudes,’ lien historico-ethnique feront que ces gens-là s’en sortiront
mieux que les urbains/bobos.
...