Le problème de l'espace, ce n'est pas d'aller dans l'espace (en fait si, c'est aussi un problème mais c'est pas de ça qu'on parle ici), c'est d'en revenir.
Prenez la dernière sonde de la NASA sur la planète bleue, heu rouge (paraît-il).
Ce qui importe ici c'est qu'il est écrit c'est que la sonde passe de 12.000 mph, soit 19.200 km/h, à 0 mph (soit 0 km/h) en 6 min. Cet exploit est accompli à l'aide d'un parachute. Oui, vous avez bien lu, un parachute pour passer de 19.000 à 0 en 6 min. Si vous ne me croyez pas allez voir à l'adresse fournie sur l'image et vérifiez vous-même.
Pour mettre ça en perspective, wikimerdia nous informe que le carbone de tungstène, l'un des métaux les plus durs sur Terre, bout - par là je veux dire qu'il entre en ébullition - à 6.000 °C, une température légèrement supérieure à celle sur la surface du Soleil. A ce propos, on savait que la NASA était pleine d'incompétents payés pour mentir et réaliser de faux exploits mais là ça devient ridicule... Regardez - pour les anglophones - à l'étape 5: il est dit que le "bouclier thermique va devenir aussi chaud que la surface du Soleil, soit 1,447 °C." D'un, ils n'ont même pas fait l'effort de consulter internet avant d'écrire leurs âneries:
La température de surface du Soleil est de 5.505 °C, pas 1.447 °C. (Incidemment on y apprend que le Soleil est blanc dans l'espace! C'est pour ça qu'on ne peut pas voir les étoiles depuis la lune j'imagine...)
De deux, un engin volant à 19.000 km/h va générer beaucoup plus que les misérables 1.500 °C (ils ont dû oublier de consulter internet là encore). De trois, comment s'ouvre le parachute s'il n'y a pas d'atmosphère sur Mars? Ils ont pensé à emporter des bouteilles d'oxygène pour le gonfler?
On ne ralentit pas un objet de plusieurs centaines de kilos volant à 19.000 km/h avec un parachute, point. Si un parachute sortait, il brûlerait ou serait réduit en confetti en à peu près une seconde.
On ne ralentit pas un objet venant de l'espace avec un parachute, nulle part y compris sur Terre. C'est ça le problème des missions spatiales, il faudrait presque autant de fuel au retour qu'au départ -- moins, c'est vrai, mais il en faudrait quand même - pour ralentir tout objet lourd chutant à plusieurs milliers de km/h.
Sans ça, la température monterait à plusieurs milliers de °C sans problème, tout métal - et toute céramique - fondrait comme neige dans un volcan en éruption! Si les boucliers thermiques pouvaient résister à de telles chaleurs, il y a longtemps que l'armée en aurait équipée la façade du Pentagone!
Bref, tout ça pour dire qu'il n'y a pas de module martien, encore moins de sonde sur une comète à 300.000.000 de kms de là (sachant que le temps de communication avec la comète Gerasimov au moment du "contact" était de plus de 40 min je crois, ou plus de 20 mais ça ne change rien, il aurait été impossible de corriger la trajectoire, ce qui voudrait dire qu'ils avaient tout bien calculé au mètre près des années à l'avance. Si seulement le secteur privé était aussi efficace...!)
Voilà deux site possibles où sont filmées les fraudes (en plus du Nevada ou autre) :
qui dispose de son cratère de météorite de 23 kms de diamètre, exactement comme celui dans lequel a atterri le rover sur Mars. Bon sang de bon soir comme l'univers est bien fait!
et un îlot perdu dans le Spitsbergen (ce qui collerait avec certaines des anomalies relevées sur les photos officielles):
A propos de photos, que donnent-elles celles-là? Voici une photo non colorisée - mince, je veux dire, dont la colorisation n'est pas correcte d'après la NASA parce que c'était un stagiaire qui devait sortir la photo et il a tout merdé:
Mais ils ont été gentils et l'ont corrigée pour notre plus grand bonheur visuel:
(Note pour moi-même, chercher qui est leur opticien). Voilà ce qu'on obtient en corrigeant leur correction:
La Terre, quoi.
Voilà, vous savez ce qu'il vous reste à faire pour vendre de belles photos de Mars: un endroit désert, un filtre rouge et les gogos n'y verront que du feu, rouge bien sûr.
"Les gens sont furieux: 'On sait pas où passe not' pognon!'
Ouaih mais y regardent pas non plus..."