lundi 21 décembre 2015

Exercice en dépopulation

J'avais commencé un article sur ce sujet avant de constater qu'on m'avait coiffé au poteau habilement et avec succès : ici.

Je mets quand-même ce que j'avais écrit parce que c'est là...

Mettons que vous soyez une éminence grise de la planète Terre, une de celles dont tout le monde ignore l'existence mais qui tirent les ficelles en coulisse, tranquillement.

Mettons que vous aimez bien la Terre et, idéalement, vivre éternellement, mais vous trouvez qu'il y a trop d'indigents et de jean-foutre et que ces derniers vous coupent l'appétit. Ils ont été utiles, bien sûr, puisqu'ils vous ont permis d'établir votre fortune et d'acheter, littéralement, le monde, mais là ça commence à bien faire parce que la Terre commence à être sérieusement tout pourrie partout: la pollution des océans, des terres, la disparition des forêts, de la faune, etc.

Quoi faire, sachant qu'aucune option n'est inenvisageable ?

Mettons que vous soyez prêt à réduire la population, de sept milliards à, disons, 1 milliard (les Georgia guidestones donnent 500 millions mais Noël approche, alors soyons généreux).

Comment faire alors ?

Bien sûr, les mesures préventives sont toujours possibles : avortement (facile dans les pays développés où les partis sont à vos bottes, pour les pays en développement, moins lent à comprendre de quoi il retourne, il suffit de conditionner l’aide humanitaire à la généralisation de cette pratique), promotion de l’homosexualité, destruction de la cellule familiale, etc. Vous pouvez empoisonner l’eau et l’air (fluor, chemtrails…), les gens (vaccins), mais si le nombre de morts dépasse un nombre relativement faible, les gens vont quand-même s’en rendre compte.

Ce qui vous aidera, c’est une crise économique majeure, avec une rupture de la chaîne d’approvisionnement. La moitié de la population des pays développés vivant dans des villes, nombre d’entre eux ne feront pas long feu sans accès à de la nourriture.

Mais cela implique moins de 50% des ‘mangeurs inutiles.’ Alors vous avez besoin d’une guerre massive, chose relativement facile à organiser vu que les autres éminences grises des pays étrangers sont sur la même longueur d’onde. Il suffit de patience, de propagande, et de quelques false flags. Mais même si le ratio des morts civils par rapport aux morts militaires à évolué tout au long du XXème siècle en défaveur des civils, il va falloir faire beaucoup mieux que quelques batailles. Les virus vont vous aider – la grippe espagnole à tuer plus de gens que la 1ère guerre mondiale – mais ils ne feront pas tout.

Une fois que vous avez le prétexte, il vous faut des armes. Si les armes nucléaires existaient vraiment, cela aiderait formidablement, mais comme ce n’est pas le cas il faut trouver autre chose. [Et ce n’est pas une question de radiations : Hiroshima et Nagasaki n’ont jamais été abandonnées, et on a des films ‘un an après’ où on voit que la vie a continué sans pour autant que les habitants tombent comme des mouches suite aux « radiations radioactives mortelles. »] Il y a bien les armes chimiques (comme les ont vues van Rensburg et d’autres), mais cela détruit en même temps l’environnement, alors il faut que leur utilisation reste limitée.

Au final, votre meilleure arme, ce sont les gens eux-mêmes. Il faudra les amener au point où ils feront le boulot pour vous…en s’entre-tuant.

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C’est pourquoi le soi-disant agenda de contrôle des armes des USA est un leurre. Le (vrai) pouvoir n’a aucun intérêt à ce que les gens soient désarmés, il a, en revanche, intérêt à ce qu’ils se tirent entre eux comme des canards à la fête foraine.
Le contrôle des armes a pu marcher dans un pays peu peuplé comme l’Australie – au prix d’une forte augmentation de la criminalité – mais dès que la population atteint une taille critique, cela devient ingérable. En Angleterre ils n’ont pas d’armes à feu, mais ils ont des armes blanches, à tel point qu’ils ont dû installer des poubelles pour recevoir ces armes (et accessoirement relever empreintes et ADN). Mais l’Angleterre a inventé les camps de concentration (au temps de la guerre des Boers, en Afrique du Sud), alors, comme nous l’enseigne l’histoire, ils s’en resserviront avant longtemps. Mais aux USA ils auront besoin que les gens soient armés pour pouvoir s’entre-tuer.

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De même, la « crise » des immigrés en Europe est une aubaine. Une nation ethniquement homogène se retournera rarement sur elle-même en dehors de ces deux situations : famine généralisée ou conflit religieux. Plus vous mélanger la population, plus avez de chance de provoquer un troisième facteur, le facteur ethnique.

Avec tout cela – famine, guerre, maladies, racisme – vous aurez atteint une bonne partie de vos objectifs en milieu urbain.

Reste la campagne. Les pays les plus ruraux seront ceux dont les populations isolées seront les moins affectées. Production autonome de nourriture, éloignement des zones ‘chaudes,’ lien historico-ethnique feront que ces gens-là s’en sortiront mieux que les urbains/bobos.

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Enfin j’dis ça…